Revenons sur l'aspect alimentaire (!) de la cyclo, en tenant compte des précisions apportées par Mitch dans les commentaires du post précédent: (Merci Mitch!)
- Un remplissage glucidique pendant les 3 jours qui précèdent l'épreuve d'environ 8 à 10g/kg/j, plutôt en avec un index glycémique bas, de type pâtes ou riz complet, soit environ 800g par jour pour moi à partir de jeudi.
- Sachant que la météo revient au beau et chaud pour ce week end, on risque de se retrouver avec une homéostasie en plein recadrage et non adaptée, ce qui risque pour certains de poser problème; s'il fait chaud il faudra boire beaucoup et donc adapter la concentration en glucides de la boisson d'effort.
J'ai finalement décidé de ne plus employer de gel de type booster ou coup de fouet, ou comportant des sucres très rapides car je pense qu'ils sont responsables pour partie de mes problèmes de crampes (trop forte concentration) et d'hypoglycémie réactionnelle.
- En tablant donc sur 0.8 litre d'eau par heure environ, soit un grand bidon, et considérant qu'il me faudra 0.7g/kg/h de glucides soit environ 50g/h, je mettrai donc ces 50 g de glucides (sous forme de Maltodextrines en majorité) dans chacun de mes 2 bidons, en emportant 2 dosettes de 50g chacunes pour les inclure aux ravitos. Reste à déterminer à quel ravitaillement je m'arrêterai, mais je regarderai la carte.
- Pour ce qui est de l'allure dans les premières bosses, je crois que je vais finalement lâcher un peu le moteur et regarder le moins possible le compteur, au moins jusqu'au col des Brosses, après on verra selon la forme...
1 commentaire:
Je pense effectivement qu'en course il ne faut pas regarder le capteur de puissance et perso ma tactique est la même : tenir au maximum le groupe de tête.
Par contre pour les cyclos de montagne, je pense qu'il faut absolument se fixer une puissance maximum, sous peine de finir à pied.
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