Pour compléter le message d'hier, j'ai trouvé cet article de Joe Friel qui va encore plus loin en estimant que la dérive cardiaque entre 2 parties égales d'un entraînement dans ces zones de SST est un bon facteur d'appréciation de l'état foncier de l'athlète, en gros cela peut permettre de savoir si la base foncière est suffisante. Cette formule appliquée à mon exercice du 12/12 donne 3.5% de dérive entre les 2 parties ce qui est selon lui témoin d'une base acceptable (qui doit être inf à 5%).
Néanmoins cette dérive peut aussi être atténuée par des phénomènes annexes (température ambiante, hydratation,...), comme le fait remarquer un forumeur dans ce fil.
C'est tout de même un paramètre que je viserai de temps en temps!;-)
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